A Orvault, en banlieue de Nantes, 400 salariés selon la police, 500 selon les syndicats, dont une centaine venus de Rennes, ont débrayé entre 9h30 et 11h30 et manifesté en ville. Ils ont défilé en chantant avant d'assister à une pièce de théâtre de rue, interprétée par quelques-uns d'entre eux, parodiant les négociations de la fusion Alcatel-Lucent. "On veut symboliser les suppressions d'emploi et la spirale infernale de la rentabilité financière immédiate", a expliqué Odile Denis, secrétaire (CFDT) du comité d'établissement. La syndicaliste ajoute que "ce sont les marchés financiers qui exigent cette rentabilité, mais ils ne sont pas les seuls fautifs : nos dirigeants n'ont pas su résister et proposer de projet industriel". "Au départ, la direction voulait ouvrir le plan social le 6 mars, mais son planning a complètement explosé grâce à notre mobilisation", ajoute la syndicaliste. Dans les Côtes-d'Armor, environ 300 salariés ont également débrayé durant la matinée et manifesté sur la zone industrielle de Lannion.
Le plan de suppressions de postes vise, selon la direction de l'entreprise, à "rationaliser les ressources au sein du nouvel ensemble Alcatel-Lucent et à faire face à l'évolution du marché". Pour "sortir du blocage", le syndicat des cadres CFE-CGC a fait ses contre-propositions au plan social dans un document présenté jeudi au cours d’une conférence de presse à Paris et en vertu duquel il réclame des embauches dans la téléphonie fixe et mobile et le maintien du site de Rennes notamment.
Le comité de groupe européen a déposé un référé au tribunal de grande instance de Paris, qui sera examiné le 3 avril, au motif d'un manque d'information et de l'absence de sa consultation. D'ici le jugement, la procédure du plan social est bloquée.
Concernant la fusion Alcatel-Lucent, Carl-Henric Svanberg, le patron d'Ericsson, interviewé par le journal Svenska Dagbladet, y voir son bénéfice, rappelant que sur la télévision comme sur les réseaux fixes, les clients ne souhaitent rencontrer que deux fournisseurs de systèmes...
Le plan de suppressions de postes vise, selon la direction de l'entreprise, à "rationaliser les ressources au sein du nouvel ensemble Alcatel-Lucent et à faire face à l'évolution du marché". Pour "sortir du blocage", le syndicat des cadres CFE-CGC a fait ses contre-propositions au plan social dans un document présenté jeudi au cours d’une conférence de presse à Paris et en vertu duquel il réclame des embauches dans la téléphonie fixe et mobile et le maintien du site de Rennes notamment.
Le comité de groupe européen a déposé un référé au tribunal de grande instance de Paris, qui sera examiné le 3 avril, au motif d'un manque d'information et de l'absence de sa consultation. D'ici le jugement, la procédure du plan social est bloquée.
Concernant la fusion Alcatel-Lucent, Carl-Henric Svanberg, le patron d'Ericsson, interviewé par le journal Svenska Dagbladet, y voir son bénéfice, rappelant que sur la télévision comme sur les réseaux fixes, les clients ne souhaitent rencontrer que deux fournisseurs de systèmes...
1 commentaire:
Yes exactly, in some moments I can reveal that I agree with you, but you may be inasmuch as other options.
to the article there is even now a question as you did in the fall efflux of this beg www.google.com/ie?as_q=diskeeper pro premier 2008 12.0.758 ?
I noticed the axiom you procure not used. Or you use the dark methods of development of the resource. I possess a week and do necheg
Enregistrer un commentaire